Les Wallabies appartiennent à un autre groupe de mammifères, beaucoup plus réduit que le précédent, dont les petits naissent à un stade si précoce que la période de gestation dans la matrice est immédiatement suivie d’une période de développement, beaucoup plus longue, dans la poche.

La remontée de l’embryon de la matrice vers la poche est aidée par la mère qui, en léchant sa fourrure, ménage un passage jusqu’aux mamelons, situés dans la poche.

Les wallabies appartiennent à la famille des kangourous qui réunissent aux environs de 60 espèces et font partie de l’ordre des marsupiaux, au même titre que d’autres familles contenant, par exemple les opossums ou les koalas.

Le Wallaby de Bennet est celui que vous découvrez ici ; il est gris sur l’ensemble du corps, blanc au niveau de l’estomac et mesure entre 60 et 80 cm, alors que les plus grand kangourous peuvent atteindre jusqu’à 2m ; c’est le cas du kangourou rouge ; les plus petits, néanmoins, font à peine 10 cm, comme, par exemple, le kangourou-rat.

Poids : 10-15kg

Durée de vie : 12-15 ans.

Alimentation : le wallaby est herbivore, possède un estomac à plusieurs chambres, comme les ruminants, et des sucs gastriques très actifs. Il peut emmagasiner un stock important de nourriture que l’estomac va peu à peu dégrader, séparant les parties qu’il digère de celles qu’ils régurgitent, ne pouvant les digérer.

La remontée de l’embryon de la matrice vers la poche est aidée par la mère qui, en léchant sa fourrure, ménage un passage jusqu’aux mamelons, situés dans la poche.

Les wallabies appartiennent à la famille des kangourous qui réunissent aux environs de 60 espèces et font partie de l’ordre des marsupiaux, au même titre que d’autres familles contenant, par exemple les opossums ou les koalas.

Le Wallaby de Bennet est celui que vous découvrez ici ; il est gris sur l’ensemble du corps, blanc au niveau de l’estomac et mesure entre 60 et 80 cm, alors que les plus grand kangourous peuvent atteindre jusqu’à 2m ; c’est le cas du kangourou rouge ; les plus petits, néanmoins, font à peine 10 cm, comme, par exemple, le kangourou-rat.

Poids : 10-15kg

Durée de vie : 12-15 ans.

Alimentation : le wallaby est herbivore, possède un estomac à plusieurs chambres, comme les ruminants, et des sucs gastriques très actifs. Il peut emmagasiner un stock important de nourriture que l’estomac va peu à peu dégrader, séparant les parties qu’il digère de celles qu’ils régurgitent, ne pouvant les digérer.

Il n’existe pas, comme chez le Cerf, une période particulière réservée aux accouplements. Ceux-ci peuvent s’effectuer à n’importe quel moment de l’année, même si les conditions climatiques semblent bouleverser, dans certaines mesures, l’apparition des chaleurs chez la femelle.

Les femelles atteignent la maturité sexuelle plusieurs mois avant les mâles ; il faut dire qu’elles sont particulièrement précoces, puisque les premières chaleurs peuvent apparaître chez la jeune femelle 4 mois après la sortie définitive de la poche marsupiale.

Après accouplement, la durée de gestation dans la matrice est de l’ordre de 28 à 34 jours.

La femelle entreprend alors le nettoyage de la poche qui doit être propre avant l’arrivée du nouveau-né. Elle se met ensuite en position et déclenche la naissance et la montée du fœtus, -atteignant à peine 1 cm-, vers la poche, marquant sa fourrure d’un chemin de salive. Entre 3 et 15 minutes sont nécessaires à l’escalade. Arrivé dans la poche, il se réfugie sur un mamelon qui assure la suite de la croissance, l’alimentant d’un lait dont la composition varie en fonction du stade.

Il faut attendre entre 4 et 6 mois pour apercevoir la petite tête rose et dépourvue de poil sortir furtivement de la poche, puis 2 mois supplémentaire pour la première sortie entière.

Encore 2 mois pendant lesquels le jeune wallaby joue dehors et rentre régulièrement jusqu’au moment où, devenu trop imposant il ne peut plus tenir à l’intérieur de la poche. A ce stade, il pèse entre 2 et 3 kg, la mère n’en veut plus guère et lui interdit de regagner la poche, lui laissant cependant l’accès aux mamelles.

Désormais sorti définitivement de la poche, il augmente progressivement la part d’herbes tout en réduisant peu à peu la part de lait prélevé aux mamelons.

Dès la mise bas, quand l’embryon a quitté l’utérus pour rejoindre la poche, la femelle revient en chaleur et accepte le mâle pour un nouvel accouplement.

A ce moment, il y a :

– dans l’utérus, un œuf fécondé

– dans la poche un embryon démarrant sa phase de développement marsupiale

L’embryon présent dans l’utérus va demeurer en arrêt de développement jusqu’à ce que la poche soit libérée ; à ce moment il entamera la remontée vers la poche et s’installera à la place du précédent.

Le petit wallaby, à peine sorti de la poche, continuera, quant à lui à venir, de temps en temps, téter le lait de sa mère sur le mamelon voisin de celui sur lequel se trouve l’embryon en phase de développement marsupiale.

Un nouvel accouplement pourra avoir lieu et l’on aura alors :

– dans l’utérus, un œuf fécondé

– dans la poche un embryon démarrant sa phase de développement marsupiale

– à l’extérieur, un jeune s’alimentant encore partiellement du lait de sa mère,

soit 3 petits, à des stades de développement différent, alimentés par la mère.

Parmi les espèces de wallabies, c’est le wallaby de Bennet qui possède la fourrure la plus épaisse.

Il se déplace rapidement en sautant ; sa vitesse pouvant atteindre 40 km/h.

Il possède des membres postérieurs longs et puissants, adaptés au saut et munis de 4 orteils dont un possède une longue griffe servant de moyen de défense. Ses membres antérieurs sont courts et munis de 5 doigts.

La queue atteint pratiquement la taille du wallaby ; elle sert d’appui au repos et de balancier pendant les courses et lors des virages brusques.

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